Titre du blog : village Auteur : Armenie Date de création : 18-03-2025
posté le 03-05-2025 à 13:19:05
One Day no!
Commentaires
christianecestmoile 03-05-2025 à 16:38:46 Merci beaucoup de ton passage sur mon blog et du commentaire laissé sur mon partage sur la musique de l'opéra . Je t'ai d'ailleurs répondu à ton commentaire sur mon blog . Très beau blog chez toi , je le découvre à l'instant par tes superbes publications . Bravo pour ton bel Univers
Armeniele 03-05-2025 à 15:12:04 Ô mer, ô mer immense et triste, qui déroules,
Sous les regards mouillés de ces millions d'étoiles,
Les longs gémissements de tes millions de houles,
Lorsque dans ton élan vers le ciel tu t'écroules ;
Ô ciel, ô ciel immense et triste, qui dévoiles,
Sur les gémissements de ces millions de houles,
Les regards pleins de pleurs de tes millions d'étoiles,
Quand l'air ne cache point la mer sous de longs voiles ;
Vous qui, par des millions et des millions d'années,
À travers les éthers toujours remplis d'alarmes.
L'un vers l'autre tendez vos âmes condamnées
À l'éternel amour qu'aucun temps ne consomme,
Il me semble, ce soir, que mon étroit cœur d'homme
Contient tous vos sanglots, contient toutes vos larmes.
Auguste Angellier.
kylianle 03-05-2025 à 13:46:58 magnifique article mon amour (l) et joliii le poéme il est
je t'aimeeeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
Commentaires
Merci beaucoup de ton passage sur mon blog et du commentaire laissé sur mon partage sur la musique de l'opéra . Je t'ai d'ailleurs répondu à ton commentaire sur mon blog . Très beau blog chez toi , je le découvre à l'instant par tes superbes publications . Bravo pour ton bel Univers
Ô mer, ô mer immense et triste, qui déroules,
Sous les regards mouillés de ces millions d'étoiles,
Les longs gémissements de tes millions de houles,
Lorsque dans ton élan vers le ciel tu t'écroules ;
Ô ciel, ô ciel immense et triste, qui dévoiles,
Sur les gémissements de ces millions de houles,
Les regards pleins de pleurs de tes millions d'étoiles,
Quand l'air ne cache point la mer sous de longs voiles ;
Vous qui, par des millions et des millions d'années,
À travers les éthers toujours remplis d'alarmes.
L'un vers l'autre tendez vos âmes condamnées
À l'éternel amour qu'aucun temps ne consomme,
Il me semble, ce soir, que mon étroit cœur d'homme
Contient tous vos sanglots, contient toutes vos larmes.
Auguste Angellier.
je t'aimeeeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
Poème
Une salle avec du feu, des bougies,
Des soupers toujours servis, des guitares,
Des fleurets, des fleurs, tous les tabacs rares,
Où l'on causerait pourtant sans orgies.
Au printemps lilas, roses et muguets,
En été jasmins, oeillets et tilleuls
Rempliraient la nuit du grand parc où, seuls
Parfois, les rêveurs fuiraient les bruits gais.
Les hommes seraient tous de bonne race,
Dompteurs familiers des Muses hautaines,
Et les femmes, sans cancans et sans haines,
Illumineraient les soirs de leur grâce.
Et l'on songerait, parmi ces parfums
De bras, d'éventails, de fleurs, de peignoirs,
De fins cheveux blonds, de lourds cheveux noirs,
Aux pays lointains, aux siècles défunts.