Titre du blog : village Auteur : Armenie Date de création : 18-03-2025
posté le 08-04-2025 à 13:49:15
The dance
Commentaires
Toimoi09le 10-04-2025 à 08:13:02 Cc passe une bonne journée de jeudi avec ce beau soleil qui réchauffe le cœur bisous
lionel71300le 10-04-2025 à 07:59:49 en danse zero le lionel bisou armenie bonne fin de semaine
lionel71300le 09-04-2025 à 08:09:51 je ne danse que le slow mdr pietre danseur bisou armenie bon mercredi
Baladinele 08-04-2025 à 20:15:52 Ce monde regorge de belles découvertes
Merci de ces infos sur le flamenco
Je viens te souhaiter une bonne soirée en ce mardi
bernardnowmanle 08-04-2025 à 13:59:52 magnifique article mon amour (l) et jolii poéme
je t'aimeeeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
Armeniele 08-04-2025 à 13:58:50 Dans le royaume des coiffeurs, les heureux ne perdent pas tout leur temps à être mariés. Au-delà de la coquetterie des guéridons, les pattes des canards abrègent les cris d'appel des dames blanches. Dans la manche du violon, vous trouverez les cris des grillons. Dans la manche du manchot, vous trouverez le philtre pour se faire tuer. Vous serez étonnés de retrouver la splendeur de vos miroirs dans les ongles des aigles. Regardez ces petits serpents canonisés qui, à la veille de leur premier bal, lancent du sperme avec leurs seins. La richesse a tellement troublé leurs ambitions qu'ils posent des énigmes éternelles aux antiquaires qui passent. Écoutez les soupirs de ces femmes coiffées en papillon.
Paul Eluard
Armeniele 08-04-2025 à 13:54:16 D’où vient ce grand chant flamenco ? Comment a-t-il pu traverser les siècles jusqu’à nous sans aucun écrit ? Cette impasse de réponses renforce implicitement sa toute puissance. Venant du sud de l’Espagne, cette musique semble s’être nourrie au fil du temps de chansons orientales gréco-persanes, de chants gitans. Toutefois, même si son origine est difficile à cerner avec exactitude, l’auteur nous propose d’en explorer ici quelques pistes. Il nous donne surtout à découvrir les coplas, ces poèmes qui chantent l’amour en parlant de sentiments comme la déception, la jalousie, la tristesse ou la joie. Ces chants magnifiques de beauté et de lyrisme sont répertoriés par thèmes, traduits en français et donnés dans leur langue d’origine. Une approche inédite de la poésie populaire chantée en Andalousie. « Dans la nuit andalouse, voilà que la fête s’allume et puis s’embrase. Alors, le chant s’enferme dans le vieux cadre rigoureux des différents cantes, la guitare se met à caracoler, galoper, bondir et son jeu est d’une infaillible technique ; la danse a beau se révéler avec force et spontanément, elle obéit à des règles séculaires extrêmement précises. Par quel mystère ? Le peuple gitano-andalou à tout moment le célèbre mais est incapable de l’expliquer. Il ne sait pas dire, il fait. » Mario Bois a fait à Paris toute sa carrière d’éditeur de musique. Chevalier des Arts et des Lettres, il fut président du Conseil international de la danse auprès de l’Unesco de 1994 à 1997.
Commentaires
Cc passe une bonne journée de jeudi avec ce beau soleil qui réchauffe le cœur bisous
en danse zero le lionel bisou armenie bonne fin de semaine
je ne danse que le slow mdr pietre danseur bisou armenie bon mercredi
Ce monde regorge de belles découvertes
Merci de ces infos sur le flamenco
Je viens te souhaiter une bonne soirée en ce mardi
je t'aimeeeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
Dans le royaume des coiffeurs, les heureux ne perdent pas tout leur temps à être mariés. Au-delà de la coquetterie des guéridons, les pattes des canards abrègent les cris d'appel des dames blanches. Dans la manche du violon, vous trouverez les cris des grillons. Dans la manche du manchot, vous trouverez le philtre pour se faire tuer. Vous serez étonnés de retrouver la splendeur de vos miroirs dans les ongles des aigles. Regardez ces petits serpents canonisés qui, à la veille de leur premier bal, lancent du sperme avec leurs seins. La richesse a tellement troublé leurs ambitions qu'ils posent des énigmes éternelles aux antiquaires qui passent. Écoutez les soupirs de ces femmes coiffées en papillon.
Paul Eluard
D’où vient ce grand chant flamenco ? Comment a-t-il pu traverser les siècles jusqu’à nous sans aucun écrit ? Cette impasse de réponses renforce implicitement sa toute puissance. Venant du sud de l’Espagne, cette musique semble s’être nourrie au fil du temps de chansons orientales gréco-persanes, de chants gitans. Toutefois, même si son origine est difficile à cerner avec exactitude, l’auteur nous propose d’en explorer ici quelques pistes. Il nous donne surtout à découvrir les coplas, ces poèmes qui chantent l’amour en parlant de sentiments comme la déception, la jalousie, la tristesse ou la joie. Ces chants magnifiques de beauté et de lyrisme sont répertoriés par thèmes, traduits en français et donnés dans leur langue d’origine. Une approche inédite de la poésie populaire chantée en Andalousie. « Dans la nuit andalouse, voilà que la fête s’allume et puis s’embrase. Alors, le chant s’enferme dans le vieux cadre rigoureux des différents cantes, la guitare se met à caracoler, galoper, bondir et son jeu est d’une infaillible technique ; la danse a beau se révéler avec force et spontanément, elle obéit à des règles séculaires extrêmement précises. Par quel mystère ? Le peuple gitano-andalou à tout moment le célèbre mais est incapable de l’expliquer. Il ne sait pas dire, il fait. » Mario Bois a fait à Paris toute sa carrière d’éditeur de musique. Chevalier des Arts et des Lettres, il fut président du Conseil international de la danse auprès de l’Unesco de 1994 à 1997.