Titre du blog : village Auteur : Armenie Date de création : 18-03-2025
posté le 20-03-2025 à 11:26:13
Le Printemps
Commentaires
Armeniele 22-03-2025 à 13:21:20 L'indifférence impacte fortement la santé mentale et la santé physique, elle renforce le sentiment de honte et de rejet qu'on peut déjà ressentir dans ces moments difficiles. Il est essentiel de prendre conscience de la gravité des conséquences de l'indifférence et comment les éviter.
Armeniele 20-03-2025 à 15:01:22 La haine trouble la vie ; l'amour la rend harmonieuse. La haine obscurcit la vie ; l'amour la rend lumineuse. Martin Luther King
Armeniele 20-03-2025 à 14:58:05 Je dis aux gens, vous savez, aller en boite de nuit ne fait pas de moi une mauvaise personne, aller à l'église ne fait pas de vous une bonne personne.
Armeniele 20-03-2025 à 11:35:16 poème
Parmi les doux transports d'une amitié fidèle,
Je voyais près d'Iris couler mes heureux jours :
Iris que j'aime encore, et que j'aimerai toujours,
Brûlait des mêmes feux dont je brûlais pour elle :
Quand, par l'ordre du ciel, une fièvre cruelle
M'enleva cet objet de mes tendres amours ;
Et, de tous mes plaisirs interrompant le cours,
Me laissa de regrets une suite éternelle.
Ah ! qu'un si rude coup étonna mes esprits !
Que je versais de pleurs ! que je poussais de cris !
De combien de douleurs ma douleur fut suivie !
Iris, tu fus alors moins à plaindre que moi :
Et, bien qu'un triste sort t'ait fait perdre la vie,
Commentaires
L'indifférence impacte fortement la santé mentale et la santé physique, elle renforce le sentiment de honte et de rejet qu'on peut déjà ressentir dans ces moments difficiles. Il est essentiel de prendre conscience de la gravité des conséquences de l'indifférence et comment les éviter.
La haine trouble la vie ; l'amour la rend harmonieuse. La haine obscurcit la vie ; l'amour la rend lumineuse. Martin Luther King
Je dis aux gens, vous savez, aller en boite de nuit ne fait pas de moi une mauvaise personne, aller à l'église ne fait pas de vous une bonne personne.
poème
Parmi les doux transports d'une amitié fidèle,
Je voyais près d'Iris couler mes heureux jours :
Iris que j'aime encore, et que j'aimerai toujours,
Brûlait des mêmes feux dont je brûlais pour elle :
Quand, par l'ordre du ciel, une fièvre cruelle
M'enleva cet objet de mes tendres amours ;
Et, de tous mes plaisirs interrompant le cours,
Me laissa de regrets une suite éternelle.
Ah ! qu'un si rude coup étonna mes esprits !
Que je versais de pleurs ! que je poussais de cris !
De combien de douleurs ma douleur fut suivie !
Iris, tu fus alors moins à plaindre que moi :
Et, bien qu'un triste sort t'ait fait perdre la vie,
Hélas ! en te perdant j'ai perdu plus que toi.
Nicolas Boileau.